lundi 10 août 2009
L' avenir d'Haiti dans 50 ans
jeudi 30 juillet 2009
Lancement « Haitian Diaspora Market Fund »
Le Bureau des Affaires Publiques de l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique invite la presse à couvrir la cérémonie de lancement du nouveau projet dénommé « Haitian Diaspora Market Fund » (HDM), (Fonds de Placement de la Diaspora Haïtienne), le vendredi 30 juillet 2009 à 10:00 a.m. au Karibe Convention Center (Juvénat). Ce projet a pour objectif de promouvoir les investissements de la Diaspora en Haïti.
La Ministre du Commerce et de l’Industrie, Madame Marie Josée Georges Garnier, la Directrice de l’USAID en Haiti, Madame Beth Cypser, le Président de la Fondation Sogebank, Monsieur Guy Rivière et d’autres personnalités importantes du gouvernement haïtien sont attendus à cette cérémonie.
Ce projet fait suite au protocole d’accord signé le 12 décembre 2008 entre l’USAID et la Fondation Sogebank. Il devrait permettre des partenariats entre les Haïtiens vivant sur le territoire national et ceux de la Diaspora en vue de la création d’emplois.
Micette Dubique
Information Assistant
US Embassy
Port-au-Prince, Haiti
Tel: (509) 2229-8351
Cell: (509) 3463-3668
Haïti: L'association des Haïtiens unis aux Etats-Unis reçue au congrès américain le Jeudi 30 juillet 2009
Les illégaux haïtiens aux Etats-Unis n'entendent pas laisser s'éteindre le flambeau de la mobilisation. C'est la seule voie qui peut leur permettre d'obtenir comme les ressortissants d'autres pays le TPS (Tempory protected status) du gouvernement américain. Les récentes déclarations du président Barack Obama ont ravivé la détermination des sans-papiers, qui annoncent pour ce jeudi une manifestation de rue à Washington. Ils apporteront ainsi leur soutien aux responsables de l'Association des Haïtiens unis aux Etats-Unis (United Haitian association of USA Inc), qui seront reçus le même jour au Congrès américain au sujet du dossier des 30 000 Haïtiens menacés d'expulsion.
« Nous expliquerons au Congrès que Haïti est dans une situation d'extrême fragilité due aux cyclones de l'année dernière, a déclaré Arioste Denis, président de ladite association à HPN. Nous leur dirons que le pays ne peut pas recevoir ces 30 000 personnes. » Au cours de cette audition, les leaders de la communauté haïtienne des Etats-Unis devraient bénéficier du support de plusieurs congressmen noirs américains sensibles au dossier des illégaux haïtiens, dont les représentants Charles Rangel et Kendrick Mick.
Parallèlement, plusieurs délégations d'Haïtiens en provenance de différentes villes américaines entendent manifester pour crier leur ras-le-bol face à la « discrimination » de Washington envers des ressortissants haïtiens. Ils comptent réclamer, à l'instar des illégaux du Nicaragua, du Salvador, du Honduras, de la Somalie et du Soudan, le statut de réfugié temporaire. La situation socio-économique est aussi critique en Haïti, précisent-ils, comme elle l'est dans ces pays.
En plus des manifestations de rue, les Haïtiens annoncent qu'ils vont adopter le 30 juillet jour de « Haitian lobbying day » à Washington, capitale fédérale des Etats-Unis. « Nous voulons constituer un lobby puissant afin de porter les législateurs américains et les autres responsables à adopter une autre politique d'immigration à l'égard d'Haïti », a déclaré M. Denis. Il a aussi rappelé que la secrétaire d'Etat Hillary Clinton avait, lors de son passage en Haïti en mars dernier, laissé croire que l'administration d'Obama allait accorder le TPS à une catégorie d'illégaux haïtiens.
Les illégaux haïtiens doivent encore patienter. Le président américain, Barak Obama, vient d'annoncer que leur dossier devrait être régularisé par une large réforme sur l'immigration. Il faut attendre le résultat de l'audition du Congrès de ce jeudi 30 juillet sur ce dossier pour toute nouvelle décision...
Valéry DAUDIER
daudiervalery@yahoo.fr
Canada tells its tourists that Haiti is safer
Six Months into Obama Administration and No TPS yet For Haitians
Forester argues that when Hurricane Mitch struck Nicaragua and Honduras and earthquakes hit El Salvador, their nationals got TPS, so why not Haitians. Haiti had to cope with four storms or hurricanes in one month last year that wiped out 15 percent of Haiti`s GDP, said Forester and caused widespread flooding of major cities and death and $1 billion in damages.
Haitians need work permits now, added the head of the Institute in Haiti. `TPS would enable them to work and send remittances to an estimated 150,000 to 300,000 people in Haiti,` he said.So far several lawmakers, including NY Senators Chuck Schumer and Kristin Gilliibrand; House Ways and Means Chair Charles Rangel and House Western Hemisphere subcommittee Chair, Eliot Engel, have all written President Obama urging him to grant Haitians TPS.
While the editorial boards of the New York Times, twice in the last year, the Washington Post, The Sun Sentinel, the Miami Herald and Newsday among others have recently editorialized for TPS. The South Florida congressional delegation also supports TPS with Republican Reps. Ileana Ros-Lehtinen and Lincoln and Mario Diaz-Balart as well as Reps. Alcee Hastings and Kendrick Meek urging for TPS through a bi-partisan supported bill.
But while the White House has heard from several sides on the issue, it has yet to budge, even though it`s so far halted deportation for those affected. For now, the Haitian nationals in desperate need of some form of immigration relief remain in limbo.
mercredi 29 juillet 2009
Haïti: TPS pour les 30 000 sans papiers Haïtiens aux USA / Obama joue la carte de la prudence
Les quelque 30 000 Haïtiens vivant en situation irrégulière depuis près de vingt ans sur le sol américain doivent être encore patients pour obtenir le TPS du gouvernement américain. Même si la secrétaire d'Etat américaine, Mme Hillary Clinton, avait indiqué, lors de sa première visite dans le pays le 16 avril 2009, que son gouvernement envisage la possibilité d'accorder le TPS aux sans-papiers haïtiens arrivés aux Etats-Unis avant l'entrée en fonction du président Obama, ce dernier s'est refusé à endosser pour l'instant un quelconque engagement formel en faveur de l'attribution de ce statut.
En janvier de l'année en cours, l'ambassadeur haïtien aux Etats Unis, Raymond Joseph, était allé plus loin en réclamant la cessation des déportations vers Haïti, à la suite du rejet de la demande du président René Préval à l'ex-président américain, George W. Bush, réclamant le TPS pour les Haïtiens.
Le statut temporaire protégé (TPS) a été adopté en 1990 par le Congrès des Etats-Unis pour les ressortissants des pays touchés par la guerre civile et les catastrophes naturelles.
Valéry DAUDIER
daudiervalery@yahoo.fr
mercredi 22 juillet 2009
Esaü Jean-Baptiste : une vedette des médias new-yorkais
Défenseur des droits des Haïtiens aux USA
Mettre son expertise au service du pays
« En termes de satisfaction, je suis très ambitieux parce qu'ici aux Etats-Unis nous n'avons pas besoin d'un ami, d'un parrain ou d'un directeur pour être promu. Il est plus facile de trouver du matériel de travail. L'environnement de travail est plus détendu. Il y a des normes, et une assurance médicale vous couvre au cas où il y aurait un problème. Tant qu'il y aura des compatriotes qui meurent de faim, des enfants non scolarisés, des pères et mères de famille en proie au chômage, je ne serai jamais satisfait de moi-même. Individuellement, il y a pas mal d'Haïtiens de la diaspora qui ont réussi dans leurs carrières professionnelles. Mais collectivement, nous avons beaucoup à faire pour relever le grand défi. Comment un Haïtien peut-il être satisfait de lui quand son pays est dans cet état de misère, de pauvreté et de malpropreté ? »
Amos Cincirmcincir@lenouvelliste.com
La Diaspora Haitienne doit renforcer ses liens pour être plus solidaire
Jean Michel : Défenseur des droits des Haïtiens aux USA
Le Centre communautaire Chay Pa Lou fait partie des institutions pionnières en matière d'immigration au sein de la communauté de la diaspora haïtienne des Etats-Unis. Créé dans les années 90, il est réputé pour les services constants qu'il offre aux compatriotes haïtiens tant au niveau de l'immigration, de l'impôt sur le revenu que de la traduction de documents.
Fondée par un groupe d'étudiants immigrés aux Etats-Unis dans les années 80, l'institution Communautaire Chay Pa Lou s'est fixée pour mission de contribuer au développement social des compatriotes haïtiens en difficultés dans les communautés de la diaspora. Elle s'impose comme étant la maison des Haïtiens de New York et d'autres Etats des Etats-unis comme New Jersey, Pennsylvanie, Rhodes Island et Connecticut.
Chay Pa Lou : New York Voici l'adresse et le téléphone de "Chay pa lou": 98 Veronica Pl Brooklyn, NY 11226 - (718) 756-1586.
Amos Cincir
lundi 20 juillet 2009

Le ROCAHD a participé avec beaucoup d’intérêt à la consultation en vue d’amender l’actuelle constitution haïtienne. Il espère, avec cette modeste contribution, apporter sa pierre à l’édification d’une société plus juste et surtout à contribuer à une loi fondamentale plus inclusive et mieux adaptée à nos besoins en tant que peuple éparpillé sur divers continents et ayant développé des appartenances transnationales, tout en demeurant indéfectiblement attaché à son alma mater, à son pays d’origine.
Annexe 11
Contribution de «Initiatives des Haïtiens de Montréal pour les amendements de laConstitution de 1987. »
(Extraits)
Cher professeur Moïse, Je suis Prophète Joseph, porte-parole d’Initiatives des Haïtiens de Montréal pour les amendements de la Constitution de 1987. Je vous écris en vue de présenter les recommandations d’amendements constitutionnels d’Initiatives des Haïtiens de Montréal proposés lors de l’Assemblée du 14 juin 2009 qui s’est tenue au Centre Culturel La Perle Retrouvée de 16h à 21h, suite à l’appel que la Commission présidentielle avait lancé au sein de la diaspora pour la poursuite des consultations sur les amendements constitutionnels lors de son passage à Montréal. Les amendements recommandés sont analysés en fonction des critères de durabilité, de stabilité, d’efficacité d’application, d’égalité entre les citoyens et d’économie.
DE LA NATIONALITÉ HAITIENNE
Commentaires et Recommandation no. 1.
L’Art. 11 de la Constitution stipule : ‘’Possède la Nationalité Haïtienne d’origine, tout individu né d’un père haïtien ou d’une mère haïtienne qui eux-mêmes sont nés Haïtiens et n’avaient jamais renoncé à leur nationalité au moment de leur naissance’’.
Formulé ainsi, les enfants nés d’un père naturalisé ou d’une mère naturalisée ne sont pas considérés comme haïtien d’origine, même s’ils sont nés en Haïti. Le bout de phrase : ..’’… qui eux-mêmes sont nés Haïtiens et n’avaient jamais renoncé à leur nationalité au moment de leur naissance.’’ Exclut les enfants nés des parents naturalisés haïtiens et les Haïtiens de la diaspora qui ont obtenu une autre nationalité.
On doit amender l’article 11 pour reconnaître comme Haïtien tout individu né d’un père haïtien ou d’une mère haïtienne. L’individu en question peut être né d’un père haïtien ou d’une mère haïtienne d’origine ou d’un père naturalisé haïtien ou d’une mère naturalisée haïtienne, qui eux-mêmes peuvent posséder une autre nationalité. Ainsi, on aura une seule catégorie d’Haïtiens par naissance. Il faudra maintenant trouver une façon pour intégrer tout étranger qui désire obtenir la nationalité haïtienne à la grande famille de la nation.
L’article 11 amendé peut se lire ainsi :
Être haïtien tout individu né d’un père haïtien ou d’une mère haïtienne, ou tout individu qui a acquis la nationalité haïtienne par naturalisation. De cette façon, l’art. 12 n’a pas sa raison d’être.
Art. 11. 1. Tout étranger peut obtenir la nationalité haïtienne par naturalisation, après cinq (5) ans de résidence continue sur le Territoire de la République.
Art. 11.2. Avant d’obtenir la nationalité haïtienne, tout étranger doit subir et réussir un test d’intégration à la grande famille de la nation haïtienne.
Art. 11.3. La loi fixe le contenu, l’organisation et le mode de fonctionnement du test d’intégration des étrangers. De cette façon, l’art. 12.2 n’a pas sa raison d’être. Ainsi, l’article 18 doit être modifié pour enlever les restrictions imposées par l’art. 12.2.
À l’article 13, l’alinéa a) n’a pas sa raison d’être. L’article 13 amendé peut se lire ainsi :Art. 13 : La Nationalité haïtienne se perd par :
a. L’occupation d’un poste politique au service d’un gouvernement étranger
b. La résidence continue à l’étranger pendant trois (3) ans d’un individu étranger naturalisé haïtien sans une autorisation régulièrement accordée par les autorités compétentes.
Les articles 14 et 15 n’ont pas leur raison d’être dans la constitution amendée.
vendredi 10 juillet 2009

Nous sommes tous conscients qu’à l’heure actuelle, Haïti est dans une situation catastrophique, un abîme dans lequel l’a propulsé une gestion archaïque pratiquée depuis l’indépendance. Nous sommes aussi conscients que le monde est en train de bouger et que tout pays qui veut marcher au rythme du changement doit se mettre au pas de la modernisation. Nous sommes tout aussi bien conscients et ceci est une vérité de la palisse, que ce ne sont pas les étrangers qui apporteront le changement chez nous mais la convergence de contributions de tous les secteurs de la vie nationale.
Pourtant, certains persistent à croire que rien de sérieux ne peut sortir d’Haïti ou des haïtiens eux-mêmes, ils ont peut-être raison de le croire car nous avions changé de gouvernement à n’en plus finir, nous avions saisi toutes les opportunités qui se sont offertes à nous ; la chance qui passe, la dernière chance et autres et nous sommes encore au même point à marquer le pas sur place. Cette vision est celle bien sûr de la communauté internationale qui est fatiguée de nous voir à sa porte, sébile en mains à quémander de l’aide et à être constamment à notre chevet, alors qu’aucune prise en charge par nous autres n’est envisagée.
Toujours dans cet ordre de pensée, nous avions reçu chez nous dans le passé des coopérants qui en fait étaient venus à l’école chez nous. Nous n’insinuons pas qu’Haïti n’ait pas profité de cette expérience en quelque sorte mais ils en ont eux-mêmes d’avantage bénéficié dans la compréhension de paramètres et théorèmes appris sur les bancs et dans les labos d’Universités.
Dans le brouhaha des activités en Haïti et la vivacité qui animent femmes et hommes, on semble ne pas remarquer que si Haïti existe encore ce n’est pas à cause de l’aide internationale mais grâce à une force invisible et silencieuse que constituent sauf erreur ou omission, les deux millions de femmes et d’hommes éparpillés un peu partout sur la planète et qui forment la diaspora haïtienne.
On a depuis longtemps fermé la diaspora haïtienne dans un petit cercle où on lui assignait seulement la fonction de garantir la subsistance au moyen des transferts pour les besoins alimentaires, le logement, les frais scolaires alors que par peur, on lui bloquait par toutes sortes de stratagèmes, tout accès à la décision en Haïti.
Dieu merci, les choses ont changé et la mentalité aussi car on a finalement compris que la diaspora avec tout le bagage accumulé en terres étrangères, peut non seulement faire profiter l’économie en Haïti en y implantant des petites entreprises mais aussi partager un certain savoir faire avec ceux de l’intérieur. La diaspora n’a pas pour objectif de prendre le job des haïtiens mais bien de contribuer à y en implanter d’avantage.
Dans le cadre des rapports entre haïtiens de l’intérieur et la diaspora, un pas va être fait dans la bonne direction. Au cours de la semaine du 20 au 25 juillet 2009, un groupe de volontaires haïtiens sous le chapeau de KONBIT NEG LAKAY, une organisation de Springs Valley, New York, vont donner en Haïti une série de conférence à travers quatre localités : Tabarre, Port-au-Prince, Carrefour, Croix-des-Bouquets.
Cette série de conférences va englober divers sujets comme : « La violence un problème pour Haïti, pas une solution » « La résolution des conflits, une autre approche pour résoudre les différends » « L’entreprenariat, pour la multiplication de petites entreprises » « La délinquance juvénile, un mal très sérieux ».
C’est un pas dans la bonne direction, et c’est un pas de géant. Si dans le passé, on pouvait dire que la diaspora ne faisait que parler, maintenant qu’elle a mis les pieds dans la glaise du réel, on dira au contraire : DIASPORA EN ACTION.
Echo d’Haïti Po. Box 1305 Randolph Ma. 02368, ou à notre adresse électronique http://us.mc590.mail.yahoo.com/mc/compose?to=echodhaiti1@yahoo.com., http://us.mc590.mail.yahoo.com/mc/compose?to=echodhaitiun@yahoo.com.

« Proposition pour une politique de gestion de la migration de main-d’œuvre en Haïti », c’est le titre d’un document produit par un Groupe interministériel et intersectoriel, mis en place par les autorités haïtiennes pour le renforcement des capacités d’administration de la migration de main-d’œuvre nationale.
Divisé en trois parties, ce document d’une centaine de pages fait un état des lieux de la migration haïtienne, de la migration de main-d’œuvre. Les rédacteurs du document préconisent la mise en branle d’une politique de gestion efficace de migration de main-d’œuvre.
Des statistiques, évoquées par l’ancien Premier Ministre Jacques Edouard Alexis, révèlent un chiffre de deux millions d’Haïtiens vivant en terre étrangère, principalement aux Etats-Unis d’Amérique, au Canada, en République Dominicaine, dans d’autres pays caribéens (Martinique, Guadeloupe, Guyane française), mais aussi en France. Ces dernières années, Montréal a accueilli comme résidentes et résidents un nombre considérable de cadres en provenance d’Haïti.
Parmi ces ressortissants nationaux, beaucoup, y compris un nombre important de femmes, sont des ressources compétentes et techniques en divers domaines, qui contribuent en parts financières importantes, non seulement dans les pays d’accueil, mais aussi dans leur pays d’origine, Haïti.
A rappeler que le « rapport mondial population 2006 », présenté le 6 septembre 2006 dans différents pays de la planète (y compris Haïti), relève combien important est l’apport des femmes et de la migration internationale dans le développement au XXIe siècle.
« Malgré leurs contributions à la réduction de la pauvreté et à des économies en situation fort difficile, la communauté internationale n’a commencé que récemment à saisir l’importance de tout ce que les femmes migrantes ont à offrir », souligne le rapport mondial population 2006 intitulé « Vers l’espoir : les femmes et la migration internationale ».
« Confrontés au phénomène du vieillissement de leurs populations et pour maintenir leur compétitivité sur les marchés mondiaux, les pays dits développés recourent de plus en plus aux femmes migrantes hautement qualifiées. La condition de femmes moins qualifiées, qu’elles soient employées de maison ou travailleuses agricoles, qu’elles travaillent dans des ateliers ou sur le trottoir, demeure souvent peu enviable tandis que la demande pour leurs services ne cesse de croître », signale l’OIM-Haïti.
Djems Olivier