
La migration de main-d’œuvre nationale
« Proposition pour une politique de gestion de la migration de main-d’œuvre en Haïti », c’est le titre d’un document produit par un Groupe interministériel et intersectoriel, mis en place par les autorités haïtiennes pour le renforcement des capacités d’administration de la migration de main-d’œuvre nationale.
Divisé en trois parties, ce document d’une centaine de pages fait un état des lieux de la migration haïtienne, de la migration de main-d’œuvre. Les rédacteurs du document préconisent la mise en branle d’une politique de gestion efficace de migration de main-d’œuvre.
Des statistiques, évoquées par l’ancien Premier Ministre Jacques Edouard Alexis, révèlent un chiffre de deux millions d’Haïtiens vivant en terre étrangère, principalement aux Etats-Unis d’Amérique, au Canada, en République Dominicaine, dans d’autres pays caribéens (Martinique, Guadeloupe, Guyane française), mais aussi en France. Ces dernières années, Montréal a accueilli comme résidentes et résidents un nombre considérable de cadres en provenance d’Haïti.
Parmi ces ressortissants nationaux, beaucoup, y compris un nombre important de femmes, sont des ressources compétentes et techniques en divers domaines, qui contribuent en parts financières importantes, non seulement dans les pays d’accueil, mais aussi dans leur pays d’origine, Haïti.
A rappeler que le « rapport mondial population 2006 », présenté le 6 septembre 2006 dans différents pays de la planète (y compris Haïti), relève combien important est l’apport des femmes et de la migration internationale dans le développement au XXIe siècle.
« Malgré leurs contributions à la réduction de la pauvreté et à des économies en situation fort difficile, la communauté internationale n’a commencé que récemment à saisir l’importance de tout ce que les femmes migrantes ont à offrir », souligne le rapport mondial population 2006 intitulé « Vers l’espoir : les femmes et la migration internationale ».
« Confrontés au phénomène du vieillissement de leurs populations et pour maintenir leur compétitivité sur les marchés mondiaux, les pays dits développés recourent de plus en plus aux femmes migrantes hautement qualifiées. La condition de femmes moins qualifiées, qu’elles soient employées de maison ou travailleuses agricoles, qu’elles travaillent dans des ateliers ou sur le trottoir, demeure souvent peu enviable tandis que la demande pour leurs services ne cesse de croître », signale l’OIM-Haïti.
Djems Olivier
« Proposition pour une politique de gestion de la migration de main-d’œuvre en Haïti », c’est le titre d’un document produit par un Groupe interministériel et intersectoriel, mis en place par les autorités haïtiennes pour le renforcement des capacités d’administration de la migration de main-d’œuvre nationale.
Divisé en trois parties, ce document d’une centaine de pages fait un état des lieux de la migration haïtienne, de la migration de main-d’œuvre. Les rédacteurs du document préconisent la mise en branle d’une politique de gestion efficace de migration de main-d’œuvre.
Des statistiques, évoquées par l’ancien Premier Ministre Jacques Edouard Alexis, révèlent un chiffre de deux millions d’Haïtiens vivant en terre étrangère, principalement aux Etats-Unis d’Amérique, au Canada, en République Dominicaine, dans d’autres pays caribéens (Martinique, Guadeloupe, Guyane française), mais aussi en France. Ces dernières années, Montréal a accueilli comme résidentes et résidents un nombre considérable de cadres en provenance d’Haïti.
Parmi ces ressortissants nationaux, beaucoup, y compris un nombre important de femmes, sont des ressources compétentes et techniques en divers domaines, qui contribuent en parts financières importantes, non seulement dans les pays d’accueil, mais aussi dans leur pays d’origine, Haïti.
A rappeler que le « rapport mondial population 2006 », présenté le 6 septembre 2006 dans différents pays de la planète (y compris Haïti), relève combien important est l’apport des femmes et de la migration internationale dans le développement au XXIe siècle.
« Malgré leurs contributions à la réduction de la pauvreté et à des économies en situation fort difficile, la communauté internationale n’a commencé que récemment à saisir l’importance de tout ce que les femmes migrantes ont à offrir », souligne le rapport mondial population 2006 intitulé « Vers l’espoir : les femmes et la migration internationale ».
« Confrontés au phénomène du vieillissement de leurs populations et pour maintenir leur compétitivité sur les marchés mondiaux, les pays dits développés recourent de plus en plus aux femmes migrantes hautement qualifiées. La condition de femmes moins qualifiées, qu’elles soient employées de maison ou travailleuses agricoles, qu’elles travaillent dans des ateliers ou sur le trottoir, demeure souvent peu enviable tandis que la demande pour leurs services ne cesse de croître », signale l’OIM-Haïti.
Djems Olivier

Union c'est la plus grande force. elle inscrite dans la devise haitienne.
RépondreSupprimertoutes mes felicitations a vous tous d'avoir regrouppé en association.
Cordialement